CHANTS. Chant & Danse Théophile Alexandre – Piano Guillaume Vincent – Cie UP TO THE MOON
Mardi 8 octobre 2019
20h30 | Carré Sévigné
Durée : 1h20
Tarifs : 26€ / 24€ / 20€
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Chorégraphie Jean-Claude Gallotta
Scénographie Pierre-André Weitz
Musicologie Barbara Nestola (CMBV, CNRS Paris)
Adaptation musicale G. Vincent & T. Alexandre
Direction artistique Emmanuel Greze-Masurel
Réalisation Manon Gicquel
Avec le soutien de la Scène Nationale du Volcan, de la Mairie du Havre,
du département Seine Maritime et de la Spedidam
Pour la première fois, ADN Baroque revisite le baroque en piano-voix et piano-danse. Théophile Alexandre, contre-ténor et danseur, est l’un des rares artistes au monde à maîtriser ces deux arts et à les entremêler. Il forme un duo étonnant avec Guillaume Vincent, pianiste, révélation ADAMI et Victoire de la Musique. Sur des chorégraphies de Jean-Claude Gallotta, ce récital lyrique chorégraphié se déroule en trois actes (la lumière, l’ombre et la nuit) composés de vingt et une pièces, comme les vingt et un grammes du poids de l’âme.
Au programme : chefs-d’œuvre d’opéra ou d’oratorio, un inédit de Porpora, mais aussi des pièces courtes ou raccourcies aux da capo, pour créer de vrais instantanés émotionnels. À contre-courant des pratiques sur instruments anciens, ADN Baroque explore de nouvelles voies et ose déshabiller ce courant musical de ses fastes d’époque. Ainsi mis à nu, ces airs révèlent des facettes inouïes de son écriture musicale, pour nous donner à entendre le baroque autrement. Piano, chant et danse s’entrelacent, incarnent le mouvement perpétuel, et explorent les émotions de l’homme. Cette performance marque les retrouvailles de Jean-Claude Gallotta avec Théophile Alexandre, et son grand retour à l’écriture solo, dix-neuf ans après L’Incessante.
Entre ombres et lumières, entre corps et âme, voyagez au cœur de notre ADN émotionnel. Bouleversant !
Tout simplement magique ! […] des œuvres majeures du baroque, signées Bach, Haendel, Purcell, Vivaldi, Porpora et bien d’autres encore, interprétées avec brio par les deux virtuoses […] Que d’émotions ! Quelques larmes aussi, sans doute, essuyées subrepticement. LA DÉPÊCHE