Découvrez le teaser de « L’Italienne à Alger » | Mardi 6 décembre au Carré Sévigné

L’Italiana in Algieri est un opéra-bouffe de Rossini réalisé en 1813, sur un livret d’Angelo Anelli. L’Opéra de Rennes reprend cette œuvre sous la houlette du metteur en scène Eric Chevalier et du chef Gildas Pungier qui aura lui-même réalisé l’arrangement de la partition de Rossini. Sous sa baguette sont réunis sept solistes, autant de choristes, issus de l’ensemble vocal Mélisme(s) dont il est aussi le directeur musical, et onze musiciens de l’Orchestre Symphonique de Bretagne.

 

OPÉRA. De Rossini. Avec L’Opéra de Rennes.

10 - L'Italienne a Alger

Mardi 6 Décembre 2016
20h30 | Carré Sévigné
Durée : 2h
Tarifs : 24€ / 22€ / 16€
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Opera buffa en deux actes de Rossini
Livret d’Angelo Anelli (1813)
Spectacle chanté en italien, surtitré en français
Transcription Gildas Pungier
Direction musicale Gildas Pungier
Mise en scène, scénographie, costumes et lumières Éric Chevalier
Assistant  à la mise en scène Philippe Béranger
Avec Orchestre Symphonique de Bretagne (Directeur musical Grant Llewellyn) , le Choeur de Chambre Mélisme(s) (Direction Gildas Pungier)
Avec Viktoria Varovaya, Luigi De Donato, Sylvia Kevorkian, Clémence Jeanson, Daniele Zanfardino, Philippe-Nicolas Martin

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Le chef d’Alger, lassé de sa légitime épouse, aimerait bien la remplacer par une belle jeune femme et, si possible, une Italienne qu’il considère parmi les plus belles du monde. Heureux hasard : il en est une, Isabella, qui vient précisément de débarquer… à la recherche de son amoureux Lindoro qui, le croirez-vous, est actuellement esclave du chef !

Coup d’essai et d’emblée coup de maître : avec L’Italienne à Alger, le jeune Rossini – 21 ans à l’époque – révolutionne le genre de l’opéra-bouffe et impose un ton, une verve, une énergie qui seront désormais sa marque de fabrique. Avec ce bijou de virtuosité spirituelle autant que musicale, il ouvrait la voie à ses créations Turc en Italie ou Barbier de Séville encore à venir.

Le spectacle, chanté en italien et surtitré en français, joue avec les codes du théâtre et de l’opéra. Il marque par sa vitalité rythmique, ses effets d’accélération et de crescendo, ses ruptures et ses effets de surprise.
Une œuvre qui montre comment Rossini s’est élevé avec virtuosité au genre dramma giocoso. Ce style d’opéra burlesque s’est révélé au XVIIIème grâce au travail de Carlo Goldoni et magnifié par Mozart.