LA DOUBLE INCONSTANCE | Jeudi 7 Janvier à 19h | Carré Sévigné

Théâtre. De Marivaux – Mise en scène Philippe Calvario

Jeudi 7 Janvier 2021
20h00 | Carré Sévigné
Attention : début du spectacle à 19h. Les billets initiaux restent valables et font office de justificatifs.
Durée : 1h45
Conseillé à partir de 14 ans
Tarif B
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De Marivaux
Mise en scène Philippe Calvario
Compagnie Saudade
Avec Maud Forget, Guillaume Sentou, Sophie Tellier, Roger Contebardo, Philippe Calvario, Luc-Emmanuel Betton, Alexiane Torrès
Assistance à la mise en scène Sandra Honoré
Scénographie Alain Lagarde
Lumière Bertrand Couderc
Son Christian Chiappe
Costumes Coline Ploquin
Coproduction Cie Saudade ; Happening ; scène nationale d’Albi, Théâtre Montansier (Versailles) ; La Passerelle, Scène Nationale de Saint-Brieuc


Une jeune fille est littéralement dérobée pour les beaux yeux d’un prince un peu capricieux qui meurt d’amour pour celle qui, déjà, semble éprise d’un autre. S’engage alors un véritable stratagème qui va conduire à une double inconstance.
Renouant avec le répertoire classique après s’être attaché à des textes contemporains, le metteur en scène Philippe Calvario revient à Marivaux qui lui valut l’un de ses plus beaux accueils public avec Le jeu de l’amour et du hasard.
Dans l’esprit d’un conte, dans un unique décor idyllique et stylisé, l’action de la pièce est donc imaginée se déroulant, sans temps morts, en une nuit et une journée de tous les possibles. Un peu à l’image d’une nuit de la Saint-Jean où les esprits seraient de sortie et où les pactes d’amour s’envoleraient avec les feuilles des arbres… Poussant la comédie vers la tragédie, la manipulation est omniprésente : le Prince, en différentes roublardises tente de faire changer les sentiments de Silvia pour Arlequin, et vice versa. Entre frivolités et stratagèmes, certains réussissent, d’autres échouent…

 

« C’est très brillant et très cruel, c’est drôle, c’est émouvant, c’est écrit dans une langue étincelante, une langue du XVIIIe siècle, mais qui nous semble d’une fraîcheur complètement contemporaine. » Le Figaro