Soirée double plateau | Da Silva + Clarika

Une soirée double à plus d’un titre : deux artistes à l’écriture des plus ciselées et brillantes de la scène hexagonale, deux univers à la fois vifs et délicats,
un double masculin/féminin pour deux concerts magistralement ardents et sensibles !

Mardi 9 Novembre
20h00 | Carré Sévigné
Durée : 2h00
Conseillé à partir de 8 ans
Tarifs B
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Da Silva Chant
Avec Clarika
Jérémie Pontier
batterie et choeurs
Mika Apamian
clavier, basse et violoncelle
Yann Lambotte
guitare, clarinette et bouzouki

 

À travers son écriture unique, féminine et poétique, Clarika dépeint la vie avec une autodérision et un humour empreint de tendresse.

Avec A la lisière, son 8ème, on retrouve cette manière bien à elle de mêler humour et gravité, de dresser le portrait de personnages drôles et rêveurs, de concocter des chansons comme autant de tranches de vies qui touchent par leur sensibilité.

Sur scène, fragile, touchante, rock, accompagnée de ses musiciens multi- instrumentistes, et joyeux complices, Clarika délivre un concert renversant avec une scénographie superbe, magnifique et unique.

 « Nouveau coup de maître […] Clarika réconcilie efficacité, inventivité, intelligence et sensibilité » Libération

1ère partie : DA SILVA

Épris de liberté, Da Silva n’a pas de frontières et navigue d’un pays à l’autre, tant dans sa vie personnelle que dans son travail de musicien. Insatiable, il écrit pour les autres (Jenifer, Soprano, Yseult…) et compose Le Mystère des Couleurs, un conte musical pour les jeunes oreilles en 2019.  Après L’Aventure, salué par le public, il revient avec un septième album : Au revoir chagrin, comme un clin d’œil au roman de Françoise Sagan. Apatride dans un paysage musical où il se sent trop à l’étroit, il nous dévoile dix chansons mêlant pop, reggae, valse et mélodies métissées. Créateur prolifique, il élabore pendant le confinement un site web aux allures de galerie d’art, et où chacune des pages conte un itinéraire sur différents supports, en photo, en poème ou en vidéo.

 

« Da Silva chante le monde comme il va mal, et le fait bien, grâce à un sens pudique de l’allusif, si rare qu’il en devient précieux. » Les Inrocks